" L'ADOM, initialement Amicale des Directeurs d'Organismes Mutualistes, a été créée à l'initiative d'un certain nombre de collègues Directeurs à la fin des années 70, puis est devenue Association au début des années 80.
Ce changement d'appellation ne se voulait pas l'abandon de la partie conviviale, qui a toujours été présente dans nos rencontres, mais simplement un renforcement des échanges d'expériences entre collègues confrontés aux mêmes problèmes, afin de rompre le "splendide isolement" qui fait tout le "charme" de nos métiers par la dissémination de nos structures sur le territoire.
Ce furent d'abord principalement des Directeurs d'Unions départementales qui l'animèrent, car ils se trouvaient de façon privilégiée au centre du maillage, à la charnière entre la fédération et les mutuelles dites "de base" dans la terminologie officielle. Mais de nombreux Directeurs de Mutuelles y virent également l'occasion d'échanges fructueux entre acteurs aux intérêts parfois divergents. Un lieu de rencontre "hors hiérarchie" apportait la respiration nécessaire aux Agents de Direction.
Car l'adhésion à l'ADOM ne fut pas réservée aux seuls Directeurs Généraux ou Directeurs, mais très vite aux Agents de Direction au sens de la Convention Collective Mutualiste. Nous dirions aujourd'hui aux catégories D, C4, C3.
Lors de la scission entre la FNMF et la FNMT, c'est à dire au moment où le "pacte d'Union" interdisait la double appartenance aux mutuelles, un certain nombre de collègues de la FNMT durent nous quitter, l'ADOM ayant fait le choix de traduire dans ses statuts les obligations fédérales.
De même, à l'occasion de certaines tensions au sein du Mouvement (si, si cela existe...) l'AG de l'ADOM décida d'offrir en inclusion dans la cotisation une adhésion à une assurance de défense professionnelle du Directeur, y compris à l'occasion d'un conflit avec son employeur. Depuis, cette possibilité existe toujours, mais à adhésion facultative sur décision personnelle de l'intéressé.
Il y eut même une tentative de création d'un syndicat de directeurs, mais la majorité des membres de l'ADOM estima finalement préférable de rester dans un rôle de formation et d'information interne, sans mélange des genres.
C'est ainsi que l'ADOM "antique" a suivi tout naturellement l'évolution des structures mutualistes, les obligations nées du Code en terme de Livres I, II, III, amenant un certain nombre de Directeurs soit à quitter l'ADOM, soit à la rejoindre au contraire.
Ce changement d'appellation ne se voulait pas l'abandon de la partie conviviale, qui a toujours été présente dans nos rencontres, mais simplement un renforcement des échanges d'expériences entre collègues confrontés aux mêmes problèmes, afin de rompre le "splendide isolement" qui fait tout le "charme" de nos métiers par la dissémination de nos structures sur le territoire.
Ce furent d'abord principalement des Directeurs d'Unions départementales qui l'animèrent, car ils se trouvaient de façon privilégiée au centre du maillage, à la charnière entre la fédération et les mutuelles dites "de base" dans la terminologie officielle. Mais de nombreux Directeurs de Mutuelles y virent également l'occasion d'échanges fructueux entre acteurs aux intérêts parfois divergents. Un lieu de rencontre "hors hiérarchie" apportait la respiration nécessaire aux Agents de Direction.
Car l'adhésion à l'ADOM ne fut pas réservée aux seuls Directeurs Généraux ou Directeurs, mais très vite aux Agents de Direction au sens de la Convention Collective Mutualiste. Nous dirions aujourd'hui aux catégories D, C4, C3.
Lors de la scission entre la FNMF et la FNMT, c'est à dire au moment où le "pacte d'Union" interdisait la double appartenance aux mutuelles, un certain nombre de collègues de la FNMT durent nous quitter, l'ADOM ayant fait le choix de traduire dans ses statuts les obligations fédérales.
De même, à l'occasion de certaines tensions au sein du Mouvement (si, si cela existe...) l'AG de l'ADOM décida d'offrir en inclusion dans la cotisation une adhésion à une assurance de défense professionnelle du Directeur, y compris à l'occasion d'un conflit avec son employeur. Depuis, cette possibilité existe toujours, mais à adhésion facultative sur décision personnelle de l'intéressé.
Il y eut même une tentative de création d'un syndicat de directeurs, mais la majorité des membres de l'ADOM estima finalement préférable de rester dans un rôle de formation et d'information interne, sans mélange des genres.
C'est ainsi que l'ADOM "antique" a suivi tout naturellement l'évolution des structures mutualistes, les obligations nées du Code en terme de Livres I, II, III, amenant un certain nombre de Directeurs soit à quitter l'ADOM, soit à la rejoindre au contraire.
Quant aux relations avec la FNMF, elles suivirent comme c'est souvent le cas, (et toujours en Mutualité) les atomes plus ou moins crochus entre les présidents et leurs équipes.
Calmes et constructives sous la Présidence de Serge ALLARD, puis de Jean Pierre CHATEL, elles se tendirent un peu sous celle de Francis CONTIS.
Alain YVEN s'attacha à renouer et renforcer les fils d'une collaboration positive pour tout le monde.
Puis Jacques CHABRAN a poursuivi dans cette voie du resserrement des liens, grâce à la volonté d'Etienne CANIARD de dialoguer avec l'ADOM.
Enfin, compte tenu de l'évolution du Mouvement, il est apparu nécessaire que l'ADOM joue l'alternance dans sa gouvernance, et c'est ainsi qu'avec l'accord des autres membres, le CA s'est féminisé et ouvert largement à l'ensemble des trois Livres.
L'ADOM montre ainsi l'exemple avec la présidence d'Anne Marie COZIEN, assistée de deux Vice-Présidentes.
Le 18 février 2015, Bruno HUSS a été élu président de l'ADOM et poursuit son ouverture, tant au niveau de l'inter-livres que de l'inter-codes, avec l'objectif d'en faire le lieu privilégié de rencontre et d'échange des directeurs et cadres de direction de la Mutualité et de la protection sociale.
Alain YVEN s'attacha à renouer et renforcer les fils d'une collaboration positive pour tout le monde.
Puis Jacques CHABRAN a poursuivi dans cette voie du resserrement des liens, grâce à la volonté d'Etienne CANIARD de dialoguer avec l'ADOM.
Enfin, compte tenu de l'évolution du Mouvement, il est apparu nécessaire que l'ADOM joue l'alternance dans sa gouvernance, et c'est ainsi qu'avec l'accord des autres membres, le CA s'est féminisé et ouvert largement à l'ensemble des trois Livres.
L'ADOM montre ainsi l'exemple avec la présidence d'Anne Marie COZIEN, assistée de deux Vice-Présidentes.
Le 18 février 2015, Bruno HUSS a été élu président de l'ADOM et poursuit son ouverture, tant au niveau de l'inter-livres que de l'inter-codes, avec l'objectif d'en faire le lieu privilégié de rencontre et d'échange des directeurs et cadres de direction de la Mutualité et de la protection sociale.
J'oubliais.
La convivialité, et notamment les superbes "soirées de l'ADOM" lors des Congrès Fédéraux ont un peu été mis en sommeil du fait du renouvellement des générations. Il vous appartient, à vous les adhérents, de nous dire vos préférences, car la vie compte, aussi !